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Cinq recueils à son actif "l'hippocampe et son phare" aux éditions les pierres (2009),

"a plein temps funambule" et "mon bic ne me parle plus" éditions j'arpente(2014 et 2015),

"Torréfaction" éditions les déjeuners sur l'herbe. 

Son dernier a pour titre "Adieu la vie courante" aux éditions Gros Textes (juin 2019).


 

De 2006 à 2010 Il se produit sur scène avec "l'hippocampe et son phare",

groupe sélectionné par la biennale de la chanson française de Wallonie Bruxelles. 

Ensuite il décroche un master à l’Académie des Beaux Arts dans l’atelier "recherches picturales et tridimensionnelles" de Tournai.

 

Depuis 2014 il se retrouve avec "Dame Dame Tambourine" projet mutant et incertain.

Collectif de recherches sonores, perforations, poésies, installations, ameublements et services incendies.

 

 

En 2017 il lance avec Camille Nicolle le festival : "POESIE MOTEUR" dans la de ville Tournai en Belgique.

Egalement contributeurs pour différentes revues d'arts et de poésies, comme la tribune du Jelly Rodger,

la revue IntranQu’îllités, Immersion, Davertige, ou encore Appelle moi poésie, ....

Il aime collaborer avec des artistes plasticiens, ou d'arts vivants afin d'intervenir à voix haute.

En bref il se dit poète attaquant de pointe.

 

"Les poètes virtuoses comme Hugo Fontaine font cracher l’eau du robinet dans leurs tuyaux d’arrosage ; ils savent diriger leur jet de façon à produire une belle strophe noire dans la poussière estivale. Quand ils oublient d’arroser, les poètes perdent leurs feuilles et l’ennui se traîne comme une limace à tête de chat dans les rues obscures. On est tout à fait capable de le capturer au lasso par la peau du dos, ou bien, en déposant son grain de sel sur la queue du dernier mot."

Lucien Suel (La Tiremande, juillet 2018)pour adieu la vie courante

"Parcourir les mots laissés par le poète revient à prendre à revers des thématiques classiques dûment explorées par le jeu, l’uppercut d’une langue en mouvement qui invite à la flânerie mais aussi à se saisir à notre tour de la poésie parce que dire Adieu la Vie Courante c’est aussi chanter un hymne à cette poésie vertueuse qui « […] n’aime pas les vernissages […] se niche davantage dans la rue comme un événement dans ton cou […] fait son petit bruit d’écharde » pour se cogner au monde, fédérer et rêver.
La sincérité qui traverse les mots d’Hugo Fontaine saura vous toucher comme elle nous a touché. Elle saura mettre en route les mots qui sont les vôtres pour dire à votre tour Adieu (à) la Vie Courante. Et puis sinon il sera toujours temps d’écumer les rues de la ville de Tournai en Septembre prochain dans le cadre du festival Poésie Moteur !
"
Karen Cayrat (article paru dans Pro/Prose magazine, mai 2020 pour Adieu la vie courante, éd Gros Textes)

 

 

"La langue d’Hugo Fontaine est un parterre sauvage, dont il arrache soigneusement les fleufleurs à fleuristes. Y poussent des herbes rouges, des lichens tordus, des chardons magnifiques, et puis des carnivores, bien sûr des carnivores, parce qu’avant tout, il est question de dévorer les heures. Il en fait des bouquets, Hugo, de grandes brassées hirsutes, baroques, pleines de suc et d’épines, qu’on reçoit à pleines mains – oui, ça pique, mais on le sait : la liberté, l’amour, la poésie, si ça pique pas, c’est mort."

François Salmon pour Torréfaction

 

 

"On pourrait dire qu'il écrit comme il respire, raconte ou vitupère, mais cette poésie se pose sur la page avec une assurance murale, tournée vers le lecteur. Et ça roule, ça claque, ça scande une volée de mots dont les sonorités ricochent, insolites et fougueuses. Logorrhée slamée ou écorchure aiguë, la poésie de Hugo traverse le paysage social et langagier d’aujourd’hui.
Il évoque les femmes, les amis, le risque ou le voyage
"je ne partirai plus, j'irai ailleurs"
Il note des impressions qui sans y toucher épinglent fait et geste de l'existence.
"
Françoise Lison-Leroy


"Dans un joyeux tintamarre réglé comme du papier à musique, les mots prennent d'assaut les oreilles de l'entourage immédiat.
Puis, au signal convenu, ils font marche arrière et, dans un désordre apparent, réintègrent le corps d'Hugo Fontaine pour un repos indispensable à la préparation d'un prochain assaut.
"
Jacky Legge

"L’écriture n’en finit pas de distiller ses pointes."

Florent Toniello

Barbara Dits photo
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